“Pianiste subtil au jeu élégant”
(Répertoire, France)

“Stéphane Lemelin a le rare pouvoir de laisser la musique parler d’elle-même, de présenter à l’auditeur de la musique d’une pureté absolue”
(The Penticton Herald).

Festival Internacional de Piano Sala Beethoven, Monterrey, Mexico
[ ] De ses interprétations si élégantes, de sa sensibilité et de sa perfection technique il y a beaucoup à apprendre. Lemelin est un véritable maître du raffinement.
Radko Tichavsky, Milenio Diario de Monterrey, Mexico, Jueves 8, Diciembre 2005

Phillips Collection, Washington, DC “Pianist Lemelin’s Formidable Fauré” – The Washington Post
[ ] Le dosage de la sonorité chez Lemelin était clair et élégant ; son rythme conforme aux valeurs jumelles de liberté et de souplesse, chères au compositeur [Fauré]. [ ] Son toucher au cours de tout ce récital passionnant évoquait à la fois le troubadour et le magicien.
Mark Adamo, The Washington Post, USA, September 30, 1993

Festival international de musique de chambre d’Ottawa
Ce que cette sonate exprime pour moi [Sonate en si bémol majeur, Schubert], l’interprétation de Lemelin l’a communiqué plus clairement et avec plus d’éloquence que toute autre que j’aie entendue.
Richard Todd, The Ottawa Citizen Ottawa, ON, August 2002

Boston, Massachusetts
[ ] Stéphane Lemelin est un pianiste admirablement équipé pour le programme Fauré/Franck/ Schubert qu’il présentait à Longy. La précision digitale est quasi parfaite, le rythme est ferme mais souple, et la sonorité profonde, « dans le clavier », qu’il obtient de l’instrument s’accorde bien avec une approche sérieuse et riche en réflexion des défis d’interprétation. [ ] Il sera bon d’entendre encore cet artiste doué.
Richard Buell, The Boston Globe, USA, October 13, 1992

Festival international de Lanaudière
Stéphane Lemelin, un interprète intelligent et racé [ ]. [ ] là [Sonate en sol majeur, F. Schubert], toute la musicalité de Stéphane Lemelin se révéla à travers un dépouillement du jeu qui permit d’accéder à la vérité de l’œuvre.
Carol Bergeron, Le Devoir, Montréal, QC, juillet 1992
Critiques      

“maître du raffinement”